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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 17:16

1° PROPOSITIONS POUR L’ ENERGIE : maître mot reconquérir notre indépendance énergétique et faire du bien à notre environnement.

LES CARBURANTS :  choisis en énergies renouvelables

Se libérer de la dépendance du pétrole de réinvestir dans le traitement du méthanol et de l’éthanol en tant que principal carburant des véhicules automobiles dans les déplacements sur route. Ces deux alcools seront produits à partir de la culture du bois et du raisin de qualité inférieure ; toutes les anciennes terres à vignes qui existaient dans les siècles précédents et dont on retrouve encore souvent la trace seront replantées à cet effet.

 

Le bois de taillis sous futaie pourra être utilisé pour la fabrique du méthanol et des même sous-produits que le pétrole (tous les isomères phéniques qui composent notre environnement habituel en plastiques de tout genre)

 

On ne peut être favorable à la culture de colza comme carburant ; outre le fait que c’est une culture vivrière nécessaire à l’alimentation des hommes (huile) et des animaux (tourteaux), son expansion en monoculture est une catastrophe pour la faune des cervidés qui en meurent d’indigestion, de plus c’est une culture qui demande des traitements intensifs de pesticides, or étant donné la quantité nécessaire, il serait impossible d’en faire une culture BIO.

Pour obtenir ce carburant, la Forêt Française est majoritairement composée en partie de résineux qui seront traités à cet effet. Dans les bois de feuillus c’est le taillis sous futaie qui sera utilisé en partie, l’autre partie étant affectée au chauffage des bâtiments (voir chapitre suivant). 3ème source énergétique pour le carburant : la haie et 4ème source énergétique les vignes de raisin de moindre qualité, à cet effet toutes les anciennes vignes abandonnées et dont on retrouve les traces sur les pentes du Massif Central et dans des friches jamais recultivées, toutes ces vignes seront remises en culture.   

                   CHAUFFAGE DES BATIMENTS

Il est nécessaire de rentrer dans une politique d’utilisation de la biomasseet la construction généralisée dans tous les bâtiments neufs de systèmes de chauffage individuels utilisant le bois ou dérivés sous forme de poêles de masse ou de poeles dits alsaciens, accompagnée d’une restructuration de la conception des constructions qui augmenteraient la capacité d’inertie calorifique des immeubles construits par le biais d’une répartition harmonieuse des murs porteurs (en maçonnerie ou en bois) et des cloisons qui seraient exclusivement raisonnées en cloisons à fort pouvoir d’inertie de chaleur (bois ou plâtre). Ainsi ce serait la construction elle-même qui serait le vecteur général du chauffage dans la construction à partir du rayonnement du poêle de masse de départ.

Cela obligera les promoteurs à construire également de façon plus durable, ce qui est un comportement vertueux à l’envers de ce qui se fait actuellement qui est prévu sur le court terme et finalement revient très cher au final, enrichissant une population ponctuelle sur le court terme mais facteur d’appauvrissement de tous sur le  long terme.

Les  matériaux utilisés pour la construction des poêles, seront dans les bâtiments sous la juridiction de l’état ou des collectivités locales des matériaux français, (pierres de Volvic ou lauzes d’Auvergne, de Corse ou de Bretagne etc…briques réfractaires) quant aux combustibles, on reviendra à des combustibles traditionnellement destinés à cet usage (taillis sous futaie, coupe d’entretien des haies, tourbes ) On ne préconisera pas l’utilisation des cultures vivrières ni de la paille qui sera rendue à la terre afin d’enrayer sa latérisation en cours:

Le Gaz sera dans toute la mesure du possible réservé au seul usage domestique (cuisson) et si possible tiré du traitement du bois et également de l’extraction à partir de l’élevage des animaux (fumiers), les exploitations agricoles animalières pouvant éventuellement être encouragées à investir dans du matériel de récupération du méthane à partir du fumier mais cela impliquerait que les éleveurs abandonnent l’élevage semi-ouvert des stabulations, ce qui serait d’ailleurs une charité envers la création inférieure que sont les animaux qui en souffrent. Les animaux à l’étable sont plus protégés des rigueurs de l’hiver que sous stabulation.

Cette récupération du gaz à partir de la distillation du bois et d’autres productions peut diminuer notre facture énergétique vis à vis des pays fournisseurs tels que la Russie et nous rendrait moins dépendants d’elle énergétiquement
.

LE SOLAIRE


On ne peut être bien sur contre l’utilisation de l’Energie solaire, cependant elle demande que soit examinée la politique à long terme ; il faut rappeller que l’implantation de centrales solaires ne peut se faire que dans des régions particulièrement ensoleillées et en utilisant un procédé d’ellipse solaire en hauteur plutôt que des capteurs au sols ; en effet il ne faut pas oublier d’intégrer le paramètre de la pollution du sol par l’ombre générateur d’un changement de la biodiversité facteur de refroidissement du sol sous ombre portée des capteurs.

Elle s’inquiète du projet de mégas centrales solaires linéaires en Sahara, le déficit de la terre en soleil sous les capteurs peut être fortement préjudiciable à l’environnement, l'on en connaît pas les conséquences.

Elle demande donc de respecter le principe de prudence et demande que les capteurs solaires soient en France limités à une implantation sur les toits et terrasses des bâtiments construits.

L’apport de l’Energie solaire par batteries est de toutes les façons réservé en France à des petites unités, on sait en revanche, que le liquide utilisé à l’intérieur des capteurs posera de très grands problèmes de recyclages au moment de la vétusté de ceux-ci. En revanche, l’énergie solaire est une excellente chose en ce qui concerne tous les petits instruments électriques fonctionnant sur batteries solaires, c’est une bonne substitution aux piles et son effet polluant sur le long terme est un peu moindre que celui des piles.

Nous devons considerer que seule l’Energie solaire passive est vraiment rentable, c’est à dire la conception particulière de la construction des bâtiments par un effet de serre dû à une heureuse répartition de vérandas et de baies vitrées associées à une domotique de volets automatiques, autour de ceux-ci. De nombreuses réalisations d’habitat de ce type montrent le bien fondé d’une telle option bien qu’au départ cela implique une mise de fonds plus élevée qui est ensuite largement amortie par les économies de chauffage et également le confort de l’habitat lui-même. Le choix de matériaux de construction à forte inertie thermique est également à privilégier.(bois, brique, pierre, terre cuite).

L’ELECTRICITE

Il est certain qu’elle sera primordiale dans le reste du fonctionnement énergétique de la France.

Elle est une énergie propre pour l’environnement immédiat des hommes.

En dehors des applications industrielles, domestiques et de transports urbains, elle peut être considérée comme le complément nécessaire indispensable dans la politique du chauffage par poêle de masse des habitations collectives préconisée plus haut, les résistances électriques étant intégrées dans le poêle lui-même ou les murs diminuant d’autant la consommation électrique. Elle permet d’apporter le complément nécessaire à l’indépendance de l’habitant qui s’absente de son logement.

Il est de plus en plus remarquable que l’énergie des éoliennes ne vaut pas l’investissement requis. Rares sont les endroits en France où elles peuvent s’avérer réellement rentables, de plus elles sont inopérantes en conditions anticycloniques, en été les brises thermiques peuvent les faire tourner mais on n’en a pas besoin à ce moment là car justement ce sont les jours les plus longs et il fait chaud donc elles ne servent pas à grand chose sinon à faire ce qu’elles faisaient déjà depuis des siècles faire remonter l’eau des puits et ne fournissent pas assez d’électricité pour répondre à la demande de froid des appareils d’air conditionnés. Si c’est pour faire tourner des appareils distribuant de l’air froid, on peut considérer que c’est un geste non écologique, tenant du total superflu et propre aux pays riches, il y a là quelque chose d’assez indécent.


Quant à l’hiver, en temps de dépression, il fait moins froid et en plus, comme il y a en général trop de vent on ne peut les faire tourner sous peine de les briser, en revanche par temps anticyclonique d’hiver quand justement il fait très froid, elles sont inopérantes par manque de vent.

On ne peut donc pas encourager à tout prix la construction et l’utilisation des éloliennes sauf peut-être à des endroits comme la côte plein sud de la Corse à l’endroit le plus venté d’Europe, mais curieusement il ne s’en construit pas à cet endroit là ; il faut dire que c’est là que se trouve une très grande copropriété (le golf de Spérone)  composée uniquement de milliardaires qui n’ont aucune envie de voir cette pollution visuelle et sonore à coté de leur havre de paix chèrement acquis.

Il est judicieux, en revanche d’ encourager et de défendre la politique de développement des hydroliennes là où leur rentabilité s’avère convaincante telle le développement dans le Raz Blanchard au large de Cherbourg ;

On peut aussi proposer aux bretons de reconsidérer la possibilité d’exploiter les courants de la Vilaine et de l’entrée du Golfe du Morbihan et il nous faut défendre les concepteurs qui apporteront une solution fiable en ce sens ainsi que la possibilité d’exploiter également les courants entre les iles du large de la Vendée et des Charentes et le Continent.

Il nous faut aussi considerer les multiples sites en France qui peuvent se prêter à la construction de petits barrages hydroélectriques pour l’alimentation de petites communes, et encourager les maires à s’en préoccuper. Les sites en question sont souvent répertoriés sur les cartes de CASSINI (18 ème siècle) comme des étangs avec moulins et nombre d’entre eux sont maintenant des prés souvent en mouilles la moitié de l’année. Le gouvernement actuel refuse la plupart du temps leur remise en eau pour la pêche sous prétexte qu’ils n’étaient pas destinés à cela mais aux moulins, sans d’ailleurs réfléchir comme tous les technocrates que un étang pour les moulins avait automatiquement son emploi pour la pêche.

L’exploitation du charbonpeut être réactivée sous conditions de sécurité draconiennes en matière de pollution. C’est une énergie fossile, il faut le rappeler ; elle devra se faire en compensant l’apport de gaz carbonique par des replantations forestières dans les alentours de la mine. Le charbon sera plutôt utilisé pour les centrales électriques thermiques et l’obtention de sous-produits polymères des phènes.

                  L’énergie nucléaire

On ne peut que soutenir la politique de la France en matière d’énergie nucléaire, c’est la condition de son indépendance énergétique.

La France est malgré l’état de ses finances, un des pays où l’entretien de ses centrales est le mieux assuré.

Elle est toujours à la pointe de l’innovation en matière de nucléaire et va implanter en Finlande la nouvelle génération de réacteurs qui va être la prochaine également chez nous pour remplacer petit à petit les anciennes centrales nucléaires en fin d’exploitation. Nos savants continuent leurs recherches en la matière et cherchent à recycler de plus en plus les déchets nucléaires, depuis l’uranium enrichi de première génération on a trouvé encore des améliorations.

Le risque des centrales nucléaires en radioactivité autour d’elle est moindre que la radio activité qui existe pour les populations qui habitent sur la chaîne du massif hercynien. Quand à l’explosion possible, On a vu avec Fukushima qui était hypersécurisé, qu’il n’y a pas de risque zéro mais il ne faut pas oublier qu’une éruption volcanique est mille fois plus radioactive qu’une fissure dans une centrale nucléaire et cela on n’en parle jamais. Depuis, cet accident nucléaire très grave, les ingénieurs tirent les enseignements et les paramètres de dangerosité de ce type d’accident sont maintenant intégrés dans les mesures de securité des centrales nucléaires en France et sans doute dans le reste du monde.

Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours vécu dangereusement sachant que là où est le danger est souvent la richesse.

 

2°L’AGRICULTURE

LA GRANDE POLLUANTE

C’est avec tristesse que nous sommes obligés de faire de la peine à nos amis agriculteurs en le disant,   mais à ceux que l’on aime on se doit de dire la Vérité.

C’est bien l’Agriculture actuelle qui pollue le plus les campagnes.

 Pesticides

Engrais en trop grande quantité

Arrachage des haies

Labours trop profonds

Vente de la paille et non-utilisation de celle-ci pour le réamendement en compost de la terre (autrefois le seul engrais utilisé était le fumier (paille + escréments animaliers) qui redonnait ainsi à la terre ce qui lui avait été pris) ;  avec pour conséquence une latéritisation de la terre à plus ou moins long terme la rendant stérile pour des décennies.

Cette attitude paysanne totalement nouvelle dans notre vieille Europe qui a pratiqué pourtant une culture intensive mais remarquablement intelligente pendant des siècles, ne date que d’une      quatre-vingtaines d’années.

Elle est due surtout à un espoir dans les engrais et pesticides obtenus par les laboratoires à partir des énergies fossiles qui ont entrainé les paysans vers la facilité. Pourquoi se donner du mal à l’ancienne quand avec ces nouveaux produits c’était si facile ? mais l’homme a joué à l’apprenti sorcier et la Nature se venge maintenant qu’il l’ait si maltraitée.

Quelle solution ?

 Elle est gouvernementale, car de lui-même sans encouragement, le paysan baisse les bras et c’est naturel.

Pour l’inciter à reprendre des comportements vertueux :

1°) Il est nécessaire de mettre en place une redéfinition de toutes les parcelles cultivables de la France à raison d’une taille de 12 ha par parcelle avec 2ha consacrés à la haie.

Ainsi après cette redéfinition, l’agriculteur sera tenu de planter autour, seul ou en collaboration avec son ou ses voisins pour les parcelles attenantes communes,  des haies ; en échange de l’investissement de la plantation, il sera exonéré d’impôts fonciers sur la surface de la haie pendant le temps de la première pousse de la haie avant qu’elle soit exploitable à la coupe soit 20 à 3O ans selon la date de la première coupe ; puis ensuite la surface de la haie sera soumise à l’impôt foncier sur la forêt (qui inclue déjà le fait que les revenus des coupes sont sur le très long terme) et comme pour celle-ci l’exploitation de son bois ne sera pas sujette à impôt sur le revenu.

2°) mettre simplement en place des obligations de minimum de profondeur de labour (réglementer donc sur le territoire de France, la production ou l’importation des socs de charrues qui ne dépasseraient pas une taille adéquate),

Sur les terrains en pente interdire le labour qui génère des ruissellements trop importants ravinant les terres du haut, ces labours étant remplacés par un fraisage du terrain qui est d’ailleurs beaucoup plus bénéfique à la terre ;

Rendre obligatoire l’assolement triennal ou le semis des engrais verts gélifs en fin de moisson d’été;

 Ces politiques ne seront pas accompagnées de subventions, la délivrance de subventions étant perverse car elle encourage le moindre effort, il sera beaucoup plus judicieux d’aider les agriculteurs dans ces transformations de mode de culture par des détaxes plus ou moins longues sur le temps en fonction des changements à mettre en place de façon à ce qu’ils aient le temps de se retourner dans leur comptabilité qui ne pourra que s’améliorer étant donné qu’avec des parcelles moindres, le matériel nécessaire sera moindre aussi en taille et en prix.

Les nouvelles parcelles de 12 ha seront encore majoritairement exploitables par la plupart des engins mécaniques actuels, en attendant une nouvelle génération d’engins pour lesquels l’Etat aura « imposé » aux fabricants des normes de taille plus réduite afin de reprendre une agriculture à taille plus humaine.

Le fait de replanter les haies entrainera les effets suivants :

Arrêt des effets de tornades localesles jours de grande chaleur en été comme cela se produit de plus en plus actuellement dans le Berry qui est plus chaud que la Beauce et la Brie et y est sujet depuis qu’il a été largement déforesté.

Création de microclimats favorablespour les cultures avec réduction des effets gélifs dus au vent.

La haie devra être plutôt raisonnée en bocage qu’en haie taillée à moins d’être raisonnée en claie.

La haie aura un effet sur le ruissellementen retenant les nitrates. Pompe à nitrates et sels minéraux à haute dose, elle a un effet régulateur et de protection des eaux souterraines, empêchant la pollution des même eaux, elle arrête le ruissellement des eaux vers les ruisseaux et empêche également leur  pollution. Elle redonnera le combustible pour le chauffage local, ce à quoi elle était destinée pendant des siècles.

Pour rééquilibrer la terre :

Il est urgent et nécessaire de revenir à l’assolement triennal,

Les gouvernements précédents ont imposé une mauvaise jachère, sans rotation triennale.

Puisque les paysans ne le font plus d’eux-mêmes, c’est de l’ordre du prince qui gouverne de l’imposer par une loi. Assolement obligatoire des 3 cultures : la première année culture d’espèces à racines superficielles, la deuxième année, culture d’espèces à racines profondes, (elles éclatent la terre (la labourent), la troisième année, cultures d’espèces synthetiseuses d’azote pour amender la terre et la laisser se reposer (engrais verts).

L’Etat prendra des mesures pour interdire la fabrication et l’importation de charrues à labourage profond(plus de 30 cm), celui-ci stérilisant la terre en détruisant la faune microscopique et les bactéries, les unes aérobie par asphyxie en les enterrant trop profondément, les autres anaérobies par hyper oxydation en les amenant à la surface où elles sont « brulées » par l’oxygène. Le sol devient totalement stérile.

Le paysan sera tenu de rendre à la terre une partie de la paille de la récolte plus importante que la chaume habituelle qu’elle soit brute ou mieux, sous forme de fumier.

Des déductions fiscales lui seront décernéespour toute culture utilisant l’association entre plantes complémentaires et la culture parallèle de plantes pesticides afin de protéger ses cultures vivrières.

On se doit d’être hostile à l’attribution de subventions qui ont toujours des effets pervers sur le long terme générant un comportement de mendicité chez ceux qui la perçoivent.

LA POLITIQUE DE L’EAU

 

Comme dit précédemment :

Replantation des haies en amont des rives des ruisseaux et rivières

La politique assez sérieuse de la France auprès des industriels donne enfin ses fruits actuellement et l’on ne peut plus dire que les industriels polluent consécutivement les rivières et fleuves.

Un b-mol cependant avec la pollution thermique de ceux-ci, car les industries ont besoin d’une grande quantité d’eau pour refroidir leurs turbines, particulièrement les centrales nucléaires en ce qui concernent leurs réacteurs, induisant une pollution thermique par augmentation de la température des eaux qu’ils rejettent.

Cela induit une transformation lente mais sure de la faune migratoire telle les saumons qui sont désorientés dans celle-ci. La faune autochtone quant à elle se réfugiant en amont ou dans les ruisseaux et petites rivières adjacentes.

Des maladies peuvent être générées par cette augmentation de température, particulièrement par la vectorisation par les moustiques qui ne sont plus détruits dès leur éclosion par les gelées printanières à ces endroits précis où la vapeur des eaux tièdes les protègent.

On ne peut cependant pas supprimer cet effet, que ce soit en aval des industries comme en aval des centrales nucléaires, la solution est donc dans la dérivation de ces eaux vers un canal déjà existant permettant à la population migratoire fluviale telle les saumons et anguilles de remonter les fleuves en tranquillité. L’augmentation thermique des canaux étant un moindre mal.

En raison des fleuves qui prennent leur source chez nous et qui alimentent nos pays voisins, la France doit se faire un point d’honneur de leur rendre des eaux en parfait état de consommation,

En ce qui concerne les océans et les mers, la France doit obtenir des riverains des océans et mers qui lui sont communs de mettre en place une force d’intervention de collaboration militaire pour la protection de ceux-ci contre les pollueurs pirates qui agissent en dehors de tout respect du bien commun de l’humanité que sont ces océans et ces mers avec une loi commune de répression sur le secteur qui est sous leur juridiction commune (ex : pour océan atlantique nord : USA-Canada-Islande-Danemark pour Groenland-Grande Bretagne- Irlande-France-Espagne) (pour Polynésie : tous les pays propriétaires (dont France) + Australie et Nouvelle Zélande)

Pour les eaux territoriales : tolérance zéro pour toute pollution  avec amendes automatiques allant crescendo en fonction de la dangerosité de ladite pollution pour la faune et la flore marine. Nous devons préconiser l’introduction : à l’examen du « permis de mer » de toutes les questions de comportement antipollution.

LA POLITIQUE DE LA VILLE

 La meilleure solution d’organisation citadine est le 4è schéma de l’INRA en ce qui concerne l’équilibre VILLE / CAMPAGNE c’est à dire Les campagnes dans les mailles des réseaux des villes. Tous les 40 km, une ville moyenne offre des services complets (écoles, hôpital, cinéma). le reste de l’habitat inter-ville étant limité aux hameaux et villages déjà existant. C’est encore le schéma actuel de la France profonde et il est nécessaire d’y revenir en ce qui concerne les hyper agglomérations car c’est le bon sens même. La France est d’ailleurs un exemple à suivre en la matière, son tissu urbain et campagnard s’était remarquablement équilibré au cours des siècles, il est malheureux qu’elle l’ait abandonné.

La nouvelle donne énergétique va permettre de revenir à ce tissu maillé équilibré ; la distance de 40 km entre chaque cité étant la plus harmonieuse compte tenu de la politique des transports, ce maillage permettra l’utilisation relativement aisée des prochaines voitures électriques, et favorisera la circulation des personnes et des biens.

Dans le fonctionnement de la ville même, actuellement il y a une relative prise de conscience de l’environnement dans nombre de nos villes de France et les maires sont de plus en plus sensibilisés au problème, Nous n’avons pas de critiques formelles à présenter sur ce sujet.

Connaissant la nature humaine paresseuse, nous encourageons cependant la diffusion générale des passages spécialisés des camions poubelle, plutôt que le dépôt dans les containers par variété de déchet ; en effet, vu la « saleté » de l’environnement de ces réceptacles qui souvent débordent, nous pensons que le passage ponctuel pour chaque variété de déchets par les camions spécialisés en chacun, sera plus profitable à tous, et que les citoyens trieront plus facilement leurs déchets en fonction du passage de chaque camion.

Avec les regroupements de secteurs de ramassage sur l’ensemble de la France qui est en bonne voie, cela pourrait être facilement développé, et donnera moins de gaspillage au lieu de préconiser comme commence à le faire le gouvernement actuel des amendes.

Pour désenclaver et empêcher la formation des mégapoles, il faut une autorité ferme gouvernementale.

A contrario de la politique actuelle, il nous faut mettre en place un gel de l’implantation de nouvelles unités industrielles dans toutes agglomérations de plus de 40 000 hab. sur un rayon de 4O km ainsi qu’un gel de toute construction nouvelle pour les même agglomérations.

Contrairement à ce que peuvent penser ceux qui ont peur qu’il n’y ait pas assez de logements, nous pensons que la répartition plus harmonieuse de la population sur le territoire permettra de faire face à ce problème, car ce n’est pas de gaieté de cœur que les gens s’entassent dans les cités, passé l’âge de l’adolescence.

Pour les mégapoles et les métropoles, il est nécessaire d’appliquer non seulement les propositions précédentes mais aussi que dès qu’un immeuble deviendra vétuste au point qu’il serait nécessaire de le démolir, il ne sera reconstruit qu’à moitié de sa superficie, le reste étant réservé à la plantation de végétation, ce qui permettra un réapport d’oxygène à la cité. Une ville équilibrée est également une ville où les habitations ne dépassent pas la cime des arbres autochtones (environ 20 m de hauteur).

Cette politique devra être prévue longtemps à l’avance afin de mettre en place des palliatifs financiers au manque à gagner des loueurs.

Une politique de la ville, implique que les habitants s’y sentent bien, c’est pourquoi, nous devons être  pour le retour du petit commerce en centre ville et en centre quartier dans les grandes villes.

Conscients que la concurrence des super et hyper marchés est effrayante pour qui veut vivre d’un petit commerce, nous proposons un moyen terme en dehors des magasins franchisés, celui de construire là où il n’y en a pas, des petites halles ou cours couverts ou marchés couverts, par les municipalités qui offriraient à des itinérants la location d’emplacements à la journée, ou à la semaine ou à l’année suivant le désir de chacun. Cela permettrait ainsi à ces commerçants itinérants de gagner mieux leur vie en allant de ville en ville, ou de quartiers en quartiers et en étant à l’abri des intempéries gagnant plus facilement la fidélité du chaland.

Un marché est toujours un lieu de rencontres agréable et gai, si ce marché est permanent avec des commerçants qui louent ponctuellement, cela peut redonner vie aux centres de quartiers actuellement déserts ou aux toutes petites villes, ne remettant pas en cause les grands marchés habituels de plein air.

En ce qui concerne l’habitat des villes, Le parti royaliste ALLIANCE ROYALE, dont nous sommes est connu pour sa politique particulièrement familiale.

L’habitat familial est à intégrer dans l’environnement.

Mais pas n’importe quel habitat familial :

Un habitat pour qui la famille veut dire la génération familiale vivante.

C’est pourquoi, nous proposons une nouvelle forme de construction des immeubles qui peut être rendue obligatoire en commençant par les HLM.

L’organisation des immeubles doit se faire à taille humaine. A l’opposé de ceux qui veulent transformer les hommes en une imitation de fourmi avec des règles de fourmilière, nous préconisons un habitat qui retrouve une taille humaine, des immeubles qui ne dépassent pas la taille de nos arbres habituels tels platanes et marronniers. Ce qui fait 4  à 8 étages en gros : rez de chaussée pour les commerces et bureaux, et professions libérales et logements côté jardin réservé à handicapés physiques vivant seuls; le premier étage pour les 3ème âge en légère difficulté motrice et 4ème age, (en cas de panne d’électricité c’est moins fatiguant pour les anciens), le deuxième pour les familles (avec des appartements qui peuvent être couplés facilement pour les familles nombreuses (une porte communicante sécurisée condamnée ou pas entre deux appartements) et les 3ème et 4ème étages avec des appartements de plus petite surface pour les 3ème age  sans problèmes de santé et les célibataires ; Naturellement les normes de construction en vigueur pour les personnes handicapées physiquement seront de rigueur. Les appartements pour les familles seront prévus plus grands.

Les services municipaux recevront des consignes très fermes de l’Etat afin de faciliter l’attribution de logements dans les HLM pour les trois générations d’une même famille en cas de logements se libérant.

Les problèmes pourront être portés devant le bras de justice qu’est le prince qui gouverne ; pour l’ALLIANCE ROYALE le Roi est ce bras de justice qui est le protecteur particulier de la famille.

La politique de ville coûte extrêmement cher en matière d’environnement, c’est vrai, et la collectivité peut être amenée à ne pas vouloir en payer le prix ; c’est pourquoi nous ne pouvons que préconiser si nous devions nous occuper de ce problème d’utiliser le référendum d’initiative populaire au niveau de la commune afin de requérir l’assentiment de la population concernée fiscalement pour chaque projet requérant un investissement très lourd pour la population imposée, ainsi le maire pourra agir plus sereinement dans la gestion de la Cité ».

Un dernier mot sous forme de réflexion. Les grandes dictatures ont toujours préféré privilégier l’habitat urbain car des citadins sont plus facilement malléables et contrôlables par les gouvernements. L’ALLIANCE ROYALE dont nous sommes est quant à elle viscéralement contre toutes les dictatures qui enlèvent à chacun son libre arbitre, favorable au paternalisme du Prince qui gouverne, elle aime le fait que le peuple puisse aller en liberté sur les terres de France, mais liberté de circuler et de vivre tel qu’on le désire ne veut pas dire anarchie et dilapidation des biens de la France, c’est pourquoi paradoxalement pour notre part nous préconisons un certain dirigisme général du Prince tel que décrit dans ce dossier.

 Le Prince qui gouverne, se doit d’être un père pour son peuple ; à de titre, il a le devoir en son conseil, de voir plus loin que son peuple.

Le référendum de consultation populaire peut d’ailleurs en fonction d’une décision à prendre qui préoccupe des intérêts catégoriels sur tous les sujets évoqués précédemment, être mis en place par le Prince qui gouverne dans un souci de ne pas imposer une décision arbitraire ; il se fera avec un souci particulier de la part du prince d’éduquer auparavant sans omettre quoique ce soit des inconvénients et des avantages de la proposition de changement de façon à ce que le peuple parfaitement éclairé puisse prendre en toute conscience son destin en main.

La démocratie équitable proposée par l’ALLIANCE ROYALE facilitera tous ces processus mais cela fait l’objet d’un autre chapitre que celui de l’environnement.

Chantal de THOURY

candidate aux élections législatives

sur la 2è circonscription de la Nièvre

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 17:30

I. L’EAU

1)Constat

 

Comme l’air l’eau est intrinsèque à la vie,

 

Sa pureté de consommation est primordiale.

Or par les temps qui courent elle est de plus en plus polluée par les activités humaines

Pollution des ruisseaux due aux traitements agricoles des terres en pesticides et en engrais trop concentrés (fait plus rare actuellement en raison des produits mieux dosés mis sur le marché des coopératives agricoles) ou mis de façon trop importante sur les cultures (les qualités des engrais n’étant pas en cause mais leur importance d’utilisation)

Pollution des ruisseaux par suppression des protections naturelles qu’étaient les haies sachant que les haies sont très gourmandes de nitrates, en les pompant dans les nappes phréatiques, elles ralentissent également le ruissellement des eaux ; or les nappes phréatiques sont les couches d’absorption des eaux pluviales et suintent jusqu’à former des sources ou fournissent les eaux souterraines des nappes aquatiques souterraines.

Les haies participent donc de façon primordiale à la purification des eaux non seulement des nitrates mais aussi de tous sels minéraux en excès.

Pollution des rivières et des fleuves qui peuvent être des pollutions permanentes à partir des activités humaines journalières ; le grand scandale actuel étant celui découvert ces derniers temps sur l’impact de la contraception humaine sur la faune aquatique mâle, la féminisant, ce qui eut pour conséquence d’extrapoler sur la race humaine découvrant que sans doute les problèmes posés par l’augmentation conséquente des hommes à stérilité réduite était dus à l’absorption de l’eau bue habituellement chargée de plus en plus des hormones ingérées par les femmes (la pilule) qui à la suite des fonctions naturelles exutoires se retrouvaient être passées dans les eaux de consommation malgré le traitement par les compagnies des eaux.

Pollution des eaux par les trop grandes concentrations urbaines, avec un ruissellement permanent des sels de plomb et autres polluants dus à la circulation automobile concentrée.

En ce qui concerne les industries, la France a depuis plus de 20 ans engagé une politique de réglementation des rejets qui s’avère efficace et qu’elle encourage à affiner, le constat de ce côté là est positif si l’on excepte l’accident (mais le risque zéro n’existe pas et n’existera jamais).

En revanche, une pollution à laquelle on pense peu est la pollution thermique, près de toutes les usines et particulièrement les centrales thermiques nucléaires ou autres, en effet pour refroidir leurs moteurs et réacteurs, elles sont obligées de pomper l’eau des fleuves et la rejettent ayant pris quelques degrés de plus ; ce qui à terme change la faune et la flore, tellement que par exemple on peut maintenant élever des crocodiles dans les eaux du Rhône à proximité des centrales nucléaires ; cela peut devenir dangereux pour notre environnement car nous ne pouvons savoir dans quelle mesure des organismes apportés par les bateaux le long des estuaires ou les graines ainsi que les insectes légers transportés par les vents venus de pays chauds ne trouveraient là un terrain propice à leur développement sachant qu’à partir du moment où ils seraient en nombre ils risqueraient d’éradiquer la faune et la flore locale sans compter le danger d’épidémies contre lesquelles nous ne sommes pas immunisés naturellement.

Cela nous amène aux océans, régulièrement pollués par les accidents de pétroliers qui déversent des milliers de tonnes de gasoil asphyxiant le plancton et la faune même supérieure ainsi que les algues des côtes, sans conter les dégazages des bateaux, leurs armateurs et les commandants vivent pour leur profit immédiat sans penser au BIEN COMMUN de tous. Ils ne sont pas les seuls puisque nombre de plaisanciers sont également de très forts pollueurs totalement irresponsables.

2)Conséquences

Elles sont développées en même temps que le constat. Nous rappelons que le Plancton est le plus gros consommateur de gaz carbonique (dioxyde de carbone) de la Planète ;

 

Les mers sont l’habitat de nombreuses espèces actuellement fragilisées par les pollutions dues à l’activité humaine et aux accidents pétroliers et comportements irresponsables.

3)Causes

Elles sont développées en même temps que le constat et les conséquences

4)Propositions

En ce qui concerne les océans et les mers, il n’y a pas d’autre solution que de renforcer un droit international ; l’eau de ceux-ci est un bien commun à toute la Planète. Il est naturellement de la responsabilité de chaque pays de faire régner la loi dans ses eaux territoriales non seulement à titre militaire mais aussi en ce qui concerne les pollueurs, c’est pourquoi, la France doit développer fortement sa flotte marine de surveillance et avertir au niveau international qu’elle sera sans pitié pour les contrevenants. Confiscation des navires pollueurs pris sur le fait, pas de caution de libération pour les commandants pris a dégazer.

 

Pour le reste des océans, il sera nécessaire de raisonner les océans et mers de façon Régionale sur le même schéma proposé par l’ALLIANCE ROYALE en ce qui concerne les fonctionnements économiques, dans le petit livret que l’on peut trouver à la boutique sur son site ;

Les pays riverains d’une grande région océanique devront s’entendre pour avoir des forces marines d’intervention commune du même type que celles des Nations Unies afin de contrôler la vétusté des navires ainsi que leurs comportements en regard de la contre pollution. La France puissance maritime a un rôle primordial à jouer dans cette proposition et doit mettre en place les discussions diplomatiques fermes avec ses partenaires partout où elle possède des territoires maritimes jouxtant ceux d’autres pays pour ce combat de la protection des mers.

Ex : en océan Atlantique Nord, elle le partage avec les Etats Unis, le Canada, l’Islande, l’Angleterre, l’Espagne, le Portugal, le Maroc, la Mauritanie, le Libéria, Le Sénégal et la Cote d’Ivoire, et les pays propriétaires de toutes les Iles des Antilles.

En ce qui concerne les eaux fluviales, dans la mesure ou les eaux sont communes à plusieurs pays, il est naturellement du devoir des pays riverains de contrôler leurs pollutions de façon particulièrement attentive afin d’éviter d’abord des conflits et des méfiances de la part des pays en aval ; sachant que les pays les plus en aval sont eux même responsables puisque leurs eaux vont aboutir à la mer. La France avec son bassin Meurthe et Moselle et le bassin du Rhin est en amont de ces fleuves qui dévalent ensuite par l’Allemagne et le Benelux vers la Mer du nord, elle doit mettre un point d’honneur à veiller à la bonne qualité des eaux qu’elle leur transmet.

En ce qui concerne le Rhône, elle veillera également à la bonne qualité des eaux qu’elle reçoit de la Suisse, ce qui n’est pas difficile, ce pays étant particulièrement civique en ce qui concerne tout ce qui est du domaine écologique.

On rejoint la politique sur les haies, sur les mesures de dépollution industrielle et humaine.

 

Les haies sont les plus grandes dépollueurs terrestres des eaux qui existent, il est donc nécessaire de préconiser donc leur replantation et leur entretien systématique en amont des berges de tout le réseau fluvial.

Actuellement, on peut se féliciter de ce que le Conseil Régional de Bretagne dont le président était auparavant le Duc de Rohan descendant des ducs de Bretagne, ait pris des mesures pour replanter partout les haies du bocage. Cette politique commence à porter ses fruits puisque la pollution par les nitrates du lisier de porc commence à régresser, trop lentement malheureusement eu égard aux dégats.
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La politique de limiter les élevages de porcs à 400 bêtes est aussi une bonne chose, il devient également urgent de revenir à un recyclage du lisier de porc par la paille, la fermentation bactérienne qui s’ensuit transforme ce fumier en excellent compost qui est absorbé très efficacement par les cultures évitant ainsi leur transmission aux nappes phréatiques et soutterraines.

Cela peut être à mettre comme une obligation pour tous les élevages de porc et d’ailleurs améliorera considérablement la vie même des animaux dans leur confort ce qui ne pourra qu’être bénéfique par ricochet pour la santé des humains

Actuellement les lois Européennes sur l’eau sont abhérentes, sous la pression des groupes écologiques, on est passé dans l’excès de réglementation et des eaux naturellement minéralisées consommées depuis des siècles sans effets néfastes (au contraire avec des effets bienfaisants) sont désormais interdites à la consommation parce que l’on a considéré les taux des minéraux de façon brute sans considérer les synergies que ceux-ci peuvent avoir entre eux dissous dans l’eau.

Des populations entières sur des territoires étendus vivent donc en infraction avec une loi idiote parce qu’elles continuent à boire des eaux qui ne leur ont jamais et ne leur font toujours pas de mal. (c'est le cas actuellement de tout le plateau du Bazois dans notre Nièvre, les eaux sont naturellement fluorées et arseniquées et peuvent être en fait considérées comme non pas des eaux de source mais des eaux minérales; plutot que de les traiter pour les déminéraliser et en faire des eaux insipides, il sera beaucoup plus judicieux de les classer en eaux minérales consomables simplement avec prudenc epour certaines personnes plutot qe de pénaliser toute la population qui la supporte très bien; des marchés juteux de recyclage des eaux sont sous jacents à ces mesures, il est honteux que des populations entières en face les frais pour l'enrichissement de quelques uns sous des fausses raisons de santé)

Voilà ce qui arrive quand on confie l’étude des lois à des technocrates sur papier ou des écologistes en chambre.

C’est pourquoi en tant que député élu de la Nation, j'aurais à coeur de me pencher sur tous ces dossiers afin de convaincre mes confrères de peser sur le gouvernement pour faire reconsiderer toutes les directives Européennes afin de relever celles qui sont hors du bon sens et de faire en sorte d’éradiquer toute directive qui n’a pas été corroborée par l’observation empirique sur le terrain.

En ce qui concerne la pollution thermique des centrales nucléaires, c’est malheureusement un choix à faire en notre indépendance totale énergétique actuelle en matière d’électricité et une élévation de la température des fleuves.

Peut-être pourrait’on étudier la possibilité de rejeter les eaux de rafraîchissement des centrales dans les canaux latéraux des fleuves qui se refroidiront sur la distance avant de rejoindre les eaux d’aval, permettant ainsi au fleuve lui-même de rester plus frais pour la remontée des espèces aquatiques migrantes comme le saumon ; les autres espèces autochtones elles ne posant pas de problèmes car elles iront naturellement vers les rivières affluentes plus fraîches.

 

(à suivre, prochainement sur le Feu (énergies): voir les chapitres précédents sur les dossiers défendus par Chantal de Thoury: environnement

 


Chantal de Thoury

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 07:58

Dossier sur l’environnement

1er Prologue

A partir d’aujourdhui et jusqu’aux élections législatives de juin 2012, nous aborderons le sujet très vaste de l’environnement et les propositions pour régler les problèmes les plus importants qui se sont présentés à nous dans une gestion ordonnée de celui-ci.

En ce qui concerne ces propositions, nous sommes partis d’un constat qui va à l’envers du « Contrat social » de Jean Jacques Rousseau : c’est que l’homme dès la naissance est entaché de défauts et n’a pas cette nature angélique qui lui est prêté par l’écrivain. L’homme est éduqué par le milieu social dans lequel il vit, s’il est laissé à lui-même dès l’enfance il ira naturellement vers ses comportements égoïstes. C’est le fait de vivre en micro société dans son milieu familial puis ensuite en société plus élargie qui va lui donner petit à petit des comportements vertueux à condition que la société elle-même au départ soit composée d’hommes vertueux.

Or pour qu’une société de ce type dure, il lui faut une tête stable. En France, en fonction du caractère particulier de notre peuple composé aux cours des siècles de multiples apports humains extérieurs, s’était mis en place ce système de gouvernement royal particulier des Capétiens qui a montré la route aux autres systèmes royaux en Europe et amélioré par l’exemple d’autres royautés dans le monde en instituant cette forme royale héréditaire par primogéniture mâle ; elle mis 5 siècles pour démarrer à partir de CLOVIS, la stabilité liée à la primogéniture fut le fait des Capétiens, encore fallut’il 2 siècles supplémentaires pour l’assoir puis encore 2 siècles pour qu’elle devienne primogéniture mâle pour conserver l’unité territoriale du Royaume.

Nos Roi ayant donc pris des comportements de père de famille vis-à-vis de leurs peuples et de leurs biens, ont eu ensuite constamment le souci de ce que nous avons l’habitude d’appeler l’environnement. Ils n’avaient naturellement pas la pensée volontaire de faire une « politique propre à l’environnement », c’était simplement pour eux une seconde nature car tout père de famille a le souci de laisser des biens en bon état à sa descendance. D’ailleurs en justice, l’expression est habituelle puis que le fait de ne pas gérer un bien en « bon père de famille » est répréhensible et intervient dans nombre de procès en remboursement de préjudice dans la notion d’appréciation du bien plus ou moins vétuste qui a ou n’a pas été entretenu en « bon père de famille ». Le ROI HEREDITAIRE n’échappe pas à la règle, ce qui n’est pas le cas du Président qui n’a pas de descendance de sang à qui il va laisser le pays qu’il gouverne. Pour être un bon Président il faut presque être un Saint, ce qui n’est pas nécessaire pour un ROI ; le fait héréditaire étant la garantie pour le peuple qu’il fera tout pour bien diriger le Pays et le Peuple dont il a la charge pour en transmettre la juridication à son fils.

Chantal Sainsère de Thoury

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